Jean-Frédéric Neuburger
Musique Contemporaine, Musique de chambre, Récital, Musique Symphonique, Musique Concertante, Classique, Jazz
Né en 1986 à Paris, Jean-Frédéric Neuburger s’impose rapidement comme un des plus brillants musiciens de sa génération.
Enfant, il étudie en parallèle l’orgue, le piano et la composition avant d’intégrer à treize ans le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris d’où il ressortira muni de cinq premiers prix. Finaliste remarqué au Concours International Long-Thibaud en 2004, il débute alors une importante carrière de pianiste, caractérisée par la variété extrême de son répertoire, de Bach aux compositeurs du XXIe siècle. Il a alors l’occasion de se produire avec les orchestres les plus prestigieux : New York Philharmonic, San Francisco Symphony, Philadelphia Orchestra, Orchestre de Paris, Orchestre Philharmonique de Radio France, NHK Symphony Orchestra, Bamberger Symphoniker…
Il collabore avec des chefs distingués comme notamment Lorin Maazel, Michael Tilson Thomas, Jonathan Nott, Osmo Vänskä, ou Pierre Boulez avec qui il travaille sa Deuxième Sonate pour piano. Ses oeuvres pour piano et de musique de chambre sont créées et programmées dans de nombreux festivals : Klavier-Festival Ruhr, Festival des Serres d’Auteuil, Festival Messiaen de la Meije, ainsi qu’au Musikverein de Vienne et à l’Auditorium du Louvre, parfois par le compositeur lui-même et par des interprètes de talent tels que les violoncellistes Tatjana Vassiljeva et François Salque, le pianiste Bertrand Chamayou, les percussionnistes Daniel Ciampolini et Emmanuel Curt. En 2010, le Festival de la Roque d’Anthéron lui commande une nouvelle oeuvre pour deux pianos et percussions et en 2012 sa cantate profane sur deux poèmes d’Aimé Césaire commande de Radio-France, est interprétée par le Choeur et l’Orchestre Philharmonique de Radio-France sous la direction de Pascal Rophé.
Ses enregistrements sont parus en majeure partie chez Mirare, et ses premières partitions sont éditées aux Editions Durand (Universal Music Publishing).